En l'absence de Balotelli, forfait en raison d'une blessure à une cuisse, l'Italie attend beaucoup d'Alberto Gilardino face à l'Espagne, jeudi (21h00), en demi-finale de la Coupe des confédérations. «Je suis sûr qu'il peut bien faire», souligne Claudio Marchisio.


Faut-il douter de la sincérité de Sergio Ramos ? Mardi, en conférence de presse, le défenseur espagnol a minoré le poids de l’absence de Mario Balotelli pour la demi-finale de Coupe des confédérations qui opposera la Roja à l’Italie. Le Madrilène a même poussé le bouchon jusqu’à estimer que son remplaçant aurait «peut-être plus de qualités» que l’attaquant de l’AC Milan, rentré prématurément en Italie en raison d’une blessure à une cuisse. Crédible ? Avec deux buts inscrits en trois matches, Balotelli avait jusque-là parfaitement assumé son statut de buteur numéro 1 de la Nazionale. Dans les rangs transalpins, on ne s’en cache pas : son forfait est «une perte importante», a reconnu Claudio Marchisio. «On sait à quel point il est fort et on mesure ce qu'il a fait dans cette compétition».
«Gilardino parle le langage du but»Pour pallier à cette absence, les solutions ne sont pas légion. S’il a laissé entendre que l’indisponibilité de Balotelli et la perspective d’affronter l’Espagne pourraient le conduire à «innover tactiquement», Cesar Prandelli a confirmé mercredi qu'il s'appuierait sur Alberto Gilardino. Auteur de 13 buts en Serie A cette saison, l’attaquant de Bologne est le seul avant-centre type de l'effectif. Il n’est apparu que 5 petites minutes sous le maillot azzurro depuis le début du tournoi, contre le Mexique (2-1) lors de l’entrée en lice de la Nazionale. «Mais il parle le langage du but et c'est aussi un champion du monde,a voulu rassurer Marchisio. Je suis sûr qu'il peut bien faire».
Pour venir à bout des champions du monde et double champions d’Europe, l’Italie mise de toute façon d’abord sur sa force collective, celle-là même qui lui avait permis de s’extirper d’une situation mal engagée face au Japon (4-3) ou encore de bousculer le Brésil (2-4). «Des réactions importantes pour nous», souligne Marchisio. Des réactions qui lui font également dire qu'un exploit est envisageable, jeudi soir, à Fortaleza. «Ce sont les plus forts, ils ont tout gagné, mais on ne va pas jouer pour perdre, prévient-il. On veut jouer le coup à fond. On a joué la finale de l'Euro, maintenant nous avons la possibilité d'aller en finale de la Coupe des Confédérations, c'est motivant. Ils ont beaucoup progressé ces dernières années mais nous aussi.»
Pour venir à bout des champions du monde et double champions d’Europe, l’Italie mise de toute façon d’abord sur sa force collective, celle-là même qui lui avait permis de s’extirper d’une situation mal engagée face au Japon (4-3) ou encore de bousculer le Brésil (2-4). «Des réactions importantes pour nous», souligne Marchisio. Des réactions qui lui font également dire qu'un exploit est envisageable, jeudi soir, à Fortaleza. «Ce sont les plus forts, ils ont tout gagné, mais on ne va pas jouer pour perdre, prévient-il. On veut jouer le coup à fond. On a joué la finale de l'Euro, maintenant nous avons la possibilité d'aller en finale de la Coupe des Confédérations, c'est motivant. Ils ont beaucoup progressé ces dernières années mais nous aussi.»
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire