Mercato - Real Madrid : Florentino Pérez annonce l'arrivée imminente de Carlo Ancelotti
Pour la première fois, Florentino Pérez reconnait publiquement avoir choisi Carlo Ancelottipour succéder à José Mourinho. Mais il reste dépendant du PSG.

Florentino Pérez a enfin lâché le morceau. Le président du Real Madrid a reconnu ce lundi que son premier choix pour succéder à José Mourinho sur le banc des Merengue se nommait Carlo Ancelotti, secret de polichinelle depuis de longues semaines. Si le technicien italien est toujours officiellement celui du PSG, où son contrat court jusqu’en juin 2014, Pérez a admis travailler sur son arrivée. "Mon entraîneur est Ancelotti", a-t-il lâché dans un entretien accordé à la version espagnole de 20 Minutes. "Aujourd’hui, ce n’est pas signé, a enchaîné le boss du Real, réélu à son poste par les socios début juin.Peut-être que demain, le PSG annoncera avoir trouvé un accord avec Ancelotti qui l’autorise à rejoindre Madrid. Nous espérons que tout se passera bien."
Le timing appartient aux dirigeants parisiens, comme le reconnait Pérez, qui subit cette situation sans pouvoir maîtriser l’agenda. "Tout dépend de l’accord du PSG avec Ancelotti et de l’annonce de son nouvel entraîneur, Blanc. Nous devons donner le temps au temps."Refusant de répondre à la question sur une éventuelle indemnité versée au club de la capitale pour le convaincre de libérer "Carletto", le président madrilène évoque les discussions avec Nasser Al-Khelaïfi. Pour lui, le président du PSG n’est pas particulièrement difficile en négociations. "C’est un homme ouvert d’esprit, a souligné Pérez. Il était joueur de tennis professionnel et il est très jeune. C’est un président moderne." Avec l’envie de recruter Ancelotti, l’homme d’affaires espagnol marque une rupture avec Mourinho dans le style.
Même s’il défend encore le bilan du Portugais. "Tous les entraîneurs ont leur façon d’être et de se comporter. José Mourinho était très exigeant avec les autres et lui-même. Ancelotti l’est aussi, mais différemment, Mou a fait du bon travail." Avant de conclure l’interview, Pérez s’est aussi penché le cas Zinedine Zidane, cité comme candidat potentiel au poste d’entraîneur en cas d’échec de la piste Ancelotti. Mais il juge prématurée une éventuelle nomination du champion du monde 1998. "Je pense que personne ne débute comme entraîneur d’une équipe première. Vous devez débuter par une équipes d’enfants, de jeunes ou comme assistant du coach principal." Et pourquoi pas celui d’Ancelotti ? Avant d’y penser, il faudra d’abord que l’Italien signe pour de bon le contrat de quatre ans, assorti d’un salaire annuel de 4,4 millions d’euros, qui l’attend à Madrid, selon les informations du quotidien espagnol ABC. Pour mettre un terme à un feuilleton qui a assez duré pour Pérez.
Le timing appartient aux dirigeants parisiens, comme le reconnait Pérez, qui subit cette situation sans pouvoir maîtriser l’agenda. "Tout dépend de l’accord du PSG avec Ancelotti et de l’annonce de son nouvel entraîneur, Blanc. Nous devons donner le temps au temps."Refusant de répondre à la question sur une éventuelle indemnité versée au club de la capitale pour le convaincre de libérer "Carletto", le président madrilène évoque les discussions avec Nasser Al-Khelaïfi. Pour lui, le président du PSG n’est pas particulièrement difficile en négociations. "C’est un homme ouvert d’esprit, a souligné Pérez. Il était joueur de tennis professionnel et il est très jeune. C’est un président moderne." Avec l’envie de recruter Ancelotti, l’homme d’affaires espagnol marque une rupture avec Mourinho dans le style.
Même s’il défend encore le bilan du Portugais. "Tous les entraîneurs ont leur façon d’être et de se comporter. José Mourinho était très exigeant avec les autres et lui-même. Ancelotti l’est aussi, mais différemment, Mou a fait du bon travail." Avant de conclure l’interview, Pérez s’est aussi penché le cas Zinedine Zidane, cité comme candidat potentiel au poste d’entraîneur en cas d’échec de la piste Ancelotti. Mais il juge prématurée une éventuelle nomination du champion du monde 1998. "Je pense que personne ne débute comme entraîneur d’une équipe première. Vous devez débuter par une équipes d’enfants, de jeunes ou comme assistant du coach principal." Et pourquoi pas celui d’Ancelotti ? Avant d’y penser, il faudra d’abord que l’Italien signe pour de bon le contrat de quatre ans, assorti d’un salaire annuel de 4,4 millions d’euros, qui l’attend à Madrid, selon les informations du quotidien espagnol ABC. Pour mettre un terme à un feuilleton qui a assez duré pour Pérez.
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