Tahiti jouera la troisième version de David contre Goliath contre l’Uruguay, ce dimanche 23 juin. Les champions d’Amérique du Sud ont l’opportunité de soigner leurs statistiques face à la moins bonne défense de cette Coupe des Confédérations de la FIFA, Brésil 2013.
Oscar Tabárez a décidé de faire confiance à ses remplaçants pour réaliser la mission, en se passant au coup d’envoi de ses trois plus belles pointures en attaque Luis Suarez, Diego Forlan et Edinson Cavani. Abel Hernandez lui donne déjà raison après une minute et 19 secondes de jeu, de la tête : première action, premier corner et but le plus rapide de l’histoire du tournoi à la clé (2’, 1:0).
L’attaquant de Palerme remet le couvert avec la manière vingt-deux minutes plus tard. Lancé à la limite du hors-jeu, Hernandez s’offre un coup du sombrero sur Jonathan Tehau, avant de déposer le cuir dans les filets du malheureux Gilbert Meriel (24’, 2:0). Diego Perez ajoute dans la foulée son nom à la liste des buteurs, reprenant un ballon qu’il avait lui-même envoyé sur le poteau de la tête (27’, 3:0). Hernandez attend ensuite les derniers instants de la première mi-temps pour planter son triplé et enfoncer encore un peu plus Tahiti, à la suite d’une offrande de Walter Gargano (45’+1, 4:0).
Malgré la volonté
Le vent semble avoir tourné lors du second acte quand le dernier rempart des Toa Aito parvient à renvoyer un pénalty de Andrès Scotti, avant de voir l’arrière gauche se faire exclure pour abus de cartons jaunes. Pas pour longtemps. Gargano garde son costume de passeur pour perforer la défense tahitienne et trouver le pied de Nicolas Lodeiro (61’, 5:0). Six minutes plus tard, Teheivarii Ludivion rejoint Scotti aux vestiaires offrant un pénalty et un but à Hernandez (67’, 6:0).
Entré en cours de jeu, Suarez ne manque pas d’apporter sa contribution au festival sud-américain, après avoir baladé par ses dribbles Henri Caroine (82’, 7:0) et ajusté Meriel une dernière fois à la limite du grand rectangle (90’, 8:0). Difficile de reprocher aux hommes de Eddy Etaeta de ne pas avoir mouillé le maillot, mais à ce niveau il en faut plus…
L’attaquant de Palerme remet le couvert avec la manière vingt-deux minutes plus tard. Lancé à la limite du hors-jeu, Hernandez s’offre un coup du sombrero sur Jonathan Tehau, avant de déposer le cuir dans les filets du malheureux Gilbert Meriel (24’, 2:0). Diego Perez ajoute dans la foulée son nom à la liste des buteurs, reprenant un ballon qu’il avait lui-même envoyé sur le poteau de la tête (27’, 3:0). Hernandez attend ensuite les derniers instants de la première mi-temps pour planter son triplé et enfoncer encore un peu plus Tahiti, à la suite d’une offrande de Walter Gargano (45’+1, 4:0).
Malgré la volonté
Le vent semble avoir tourné lors du second acte quand le dernier rempart des Toa Aito parvient à renvoyer un pénalty de Andrès Scotti, avant de voir l’arrière gauche se faire exclure pour abus de cartons jaunes. Pas pour longtemps. Gargano garde son costume de passeur pour perforer la défense tahitienne et trouver le pied de Nicolas Lodeiro (61’, 5:0). Six minutes plus tard, Teheivarii Ludivion rejoint Scotti aux vestiaires offrant un pénalty et un but à Hernandez (67’, 6:0).
Entré en cours de jeu, Suarez ne manque pas d’apporter sa contribution au festival sud-américain, après avoir baladé par ses dribbles Henri Caroine (82’, 7:0) et ajusté Meriel une dernière fois à la limite du grand rectangle (90’, 8:0). Difficile de reprocher aux hommes de Eddy Etaeta de ne pas avoir mouillé le maillot, mais à ce niveau il en faut plus…
Huit buts pour clôturer la phase de groupes et une qualification pour le dernier carré, les Uruguayens vont bien dormir ce soir. Les Tahitiens pourront commencer à revivre leurs émotions sud-américaines dans l’avion du retour, après avoir une nouvelle fois cherché à jouer vers l’avant.
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