Le Brésil et l’Espagne sont là où tout le monde les attendaient : en finale de la Coupe des Confédérations de la FIFA, Brésil 2013, ce dimanche 30 juin au Maracanã. Les Sud-Américains rêvent de décrocher sous les yeux des leurs une quatrième couronne, les Européens de pouvoir toucher le trophée pour la première fois de leur histoire.
L’ambiance des grands soirs pousse d’entrée les Brésiliens vers l’avant, Fred et les siens ont trop envie de faire plaisir à leurs supporters. L’ancien Lyonnais commence par leur expliquer par l’exemple la définition du renard des surfaces : au sol, le buteur parvient à ajuster sa frappe sous le nez d'Iker Casillas (2’, 1:0). Oscar profite dans la foulée d’une passe inspirée du buteur pour donner de nouvelles sueurs froides aux champions du monde, Andrés Iniesta signant le réveil espagnol à distance peu après.
Il faut attendre 20 minutes pour voir la Roja retrouver le contrôle du cuir. L’Espagne souffre face à un pressing brésilien presque insoutenable, et tremble une fois le ballon perdu. Les contre-attaques orchestrées par Fred, Neymar et Hulk font mal. Le numéro neuf brésilien croit tenir son doublé, à la réception d’une offrande de Neymar, mais son tir permet seulement à Casillas de s’illustrer. David Luiz dépite encore plus les Européens en sauvant un ballon de Pedro qu’ils voyaient déjà au fond.
Le Brésil en démonstration
Quelques minutes avant la pause, un caviar signé Oscar trouve Neymar à la limite du hors-jeu. La sensation brésilienne déclenche à son tour le délire dans la foule d’une frappe en force dans le plafond du but (44’, 2:0). Le Brésil est sur sa planète et fait le nécessaire pour y rester en seconde période quand Fred ouvre idéalement son pied pour glacer les Espagnols encore plus (47’, 3:0). Ils pensent se relancer quand Marcelo déséquilibre Jesus Navas dans la surface mais les nerfs de Sergio Ramos ne sont pas au rendez-vous à la conversion, comme un symbole de l’impuissance européenne.
Gerard Piqué enfonce le clou en déséquilibrant Neymar parti seul faire son numéro. Carton rouge. En infériorité numérique, l'Espagne est aux abois. Pas rassasiés et sous les "olé" , les Sud-Américains poussent un plus les champions du monde dans leurs retranchements. Mais c'est sans aggraver le score. Qu'importe... Le coup de sifflet final retentit bientôt, les Brésiliens se tombent dans les bras tandis que les Espagnols sortent du terrain la tête basse.
Le Brésil a été maître de son Maracanã pendant 90 minutes, les Espagnols n’y ont jamais trouvé leurs sensations. La Seleção remporte chez elle sa troisième Coupe des Confédérations d'affilée. La fête peut commencer.
L’ambiance des grands soirs pousse d’entrée les Brésiliens vers l’avant, Fred et les siens ont trop envie de faire plaisir à leurs supporters. L’ancien Lyonnais commence par leur expliquer par l’exemple la définition du renard des surfaces : au sol, le buteur parvient à ajuster sa frappe sous le nez d'Iker Casillas (2’, 1:0). Oscar profite dans la foulée d’une passe inspirée du buteur pour donner de nouvelles sueurs froides aux champions du monde, Andrés Iniesta signant le réveil espagnol à distance peu après.
Il faut attendre 20 minutes pour voir la Roja retrouver le contrôle du cuir. L’Espagne souffre face à un pressing brésilien presque insoutenable, et tremble une fois le ballon perdu. Les contre-attaques orchestrées par Fred, Neymar et Hulk font mal. Le numéro neuf brésilien croit tenir son doublé, à la réception d’une offrande de Neymar, mais son tir permet seulement à Casillas de s’illustrer. David Luiz dépite encore plus les Européens en sauvant un ballon de Pedro qu’ils voyaient déjà au fond.
Le Brésil en démonstration
Quelques minutes avant la pause, un caviar signé Oscar trouve Neymar à la limite du hors-jeu. La sensation brésilienne déclenche à son tour le délire dans la foule d’une frappe en force dans le plafond du but (44’, 2:0). Le Brésil est sur sa planète et fait le nécessaire pour y rester en seconde période quand Fred ouvre idéalement son pied pour glacer les Espagnols encore plus (47’, 3:0). Ils pensent se relancer quand Marcelo déséquilibre Jesus Navas dans la surface mais les nerfs de Sergio Ramos ne sont pas au rendez-vous à la conversion, comme un symbole de l’impuissance européenne.
Gerard Piqué enfonce le clou en déséquilibrant Neymar parti seul faire son numéro. Carton rouge. En infériorité numérique, l'Espagne est aux abois. Pas rassasiés et sous les "olé" , les Sud-Américains poussent un plus les champions du monde dans leurs retranchements. Mais c'est sans aggraver le score. Qu'importe... Le coup de sifflet final retentit bientôt, les Brésiliens se tombent dans les bras tandis que les Espagnols sortent du terrain la tête basse.
Le Brésil a été maître de son Maracanã pendant 90 minutes, les Espagnols n’y ont jamais trouvé leurs sensations. La Seleção remporte chez elle sa troisième Coupe des Confédérations d'affilée. La fête peut commencer.
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