Fred rêve d'un Brésil-Espagne
Après avoir battu la France avec le Brésil, l'attaquant Fred se projette vers la Coupe des Confédérations où il rêve d'affronter l'Espagne en finale.
Trois jours après avoir affronté la France (3-0) à Porto Alegre, Fred était projeté sur la Coupe des Confédérations, mercredi, à Goiânia, à 200 kilomètres à l’ouest de Brasilia, où le Brésil prépare son entrée dans la compétition, samedi, face au Japon : «C’est une compétition courte (du 15 au 30 juin),avec au maximum cinq matches, ce qui oblige à être très efficace d’entrée. Pour moi, ce serait très bon pour le football que le tournoi s’achève sur une finale entre le Brésil et l’Espagne. L’Espagne a toujours autant de qualité dans toutes ses lignes, elle met toujours autant de mouvement dans son jeu.»
Le but ? Son obsession
L’ancien attaquant de Lyon (été 2005- janvier 2009) est revenu sur sa prestation face aux Bleus, qui l’a vu offrir une passe décisive à Oscar après avoir marqué quatre buts lors des quatre précédents matches du Brésil. «Contre la France, j’ai eu trois occasions sans marquer ; contre l’Angleterre (2-2, le 2 juin), j’en n’en avais eu qu’une mais je l’avais mise au fond. Je préfère ce second scénario. Mon rôle principal est de marquer des buts. A chaque match en sélection ou en club, j’ai toujours cette obsession en tête.»
Récemment victime d’une petite fracture aux côtes, le nouvel avant-centre titulaire du Brésil a estimé que «chaque joueur traîne toujours une douleur aux adducteurs, aux mollets ou ailleurs. J’ai beaucoup travaillé avec le staff médical pour réduire les risques. Aujourd’hui, je m’estime à 100%.» Fred a également évoqué ses rapports compliqués avec Mano Menezes, le prédécesseur de Luiz Felipe Scolari à la tête de la Seleçao. «J’ai déjà dit que je ne m’entendais pas très bien avec lui. Mais le principal problème allait au-delà de mon cas : Menezes ne souhaitait pas jouer avec un véritable avant-centre.»
Récemment victime d’une petite fracture aux côtes, le nouvel avant-centre titulaire du Brésil a estimé que «chaque joueur traîne toujours une douleur aux adducteurs, aux mollets ou ailleurs. J’ai beaucoup travaillé avec le staff médical pour réduire les risques. Aujourd’hui, je m’estime à 100%.» Fred a également évoqué ses rapports compliqués avec Mano Menezes, le prédécesseur de Luiz Felipe Scolari à la tête de la Seleçao. «J’ai déjà dit que je ne m’entendais pas très bien avec lui. Mais le principal problème allait au-delà de mon cas : Menezes ne souhaitait pas jouer avec un véritable avant-centre.»
