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30 avril 2013

Beckenbauer s'excuse auprès du Barça


Beckenbauer s'excuse auprès du Barça





Après avoir affirmé que le FC Barcelone était prêt à "utiliser toutes les astuces possibles" pour éliminer le Bayern Munich mercredi en demi-finale retour de la Ligue des Champions, Franz Beckenbauer est revenu sur ses propos. Le président d'honneur du club bavarois a notamment présenté ses excuses aux Blaugrana.
"Je m'excuse si mes déclarations ont été mal interprétées, a réagi Beckenbauer. Je voulais dire que les deux équipes feront tout pour parvenir en finale, rien de plus. Je suis persuadé que le fair-play prévaudra mercredi." 

Record d'accréditations au Camp Nou


Record d'accréditations au Camp Nou




La demi-finale retour de Ligue des champions entre le FC Barcelone et le Bayern Munich battra le record de journalistes accrédités au Camp Nou, avec 990 inscrits. «C'est le match avec le plus de médias accrédités dans l'histoire du Barça au Camp Nou, devant le clasico de la Ligue des champions 2011 contre le Real Madrid, avec 965 journalistes», a indiqué le Barça mardi sur son site internet.

Ça passe d'abord par la défense


Ça passe d'abord par la défense





Pour espérer renverser la situation face au Borussia Dortmund et se qualifier en finale, le Real ne mise pas tout sur l'attaque. Même s'il doit marquer au moins trois buts, il va s'évertuer aussi à bien défendre pour rendre l'exploit possible.
Sergio Ramos sera chargé de museler Robert Lewandowski, mardi à Madrid. (AFP)

Pour atteindre sa treizième finale de Ligue des champions (neuf victoires et trois défaites), le Real Madrid ne doit pas seulement battre le Borussia Dortmund par trois buts d’écart, mardi en demi-finale retour à Santiago-BernabeuL’autre condition nécessaire à remplir pour le club madrilène est de ne surtout pas en encaisser. En cas de victoire 3-0 en effet, ce sont bien les joueurs de Mourinho qui seraient qualifiés au bénéfice du but marqué à l’extérieur. Mais après avoir cédé à quatre reprises à l’aller (1-4), à chaque fois sur des éclairs de Robert Lewandowski, seront-ils capables d’empêcher leur bourreau de récidiver ? Leur entraîneur en est persuadé car cette fois, «la situation est différente». Contrairement à la semaine dernière, le coach merengue va pouvoir disposer de son effectif comme il l’entend. Il a même déjà élaboré un plan défensif pour stopper l’attaquant international polonais.
Le replacement de Sergio Ramos dans l'axe apportera de la densité physique dans le coeur du jeu, ce qui a cruellement manqué à Madrid dans la Ruhr.«Là-bas, la situation était évidente. A l’exception de la position de Di Maria, je n’avais pas caché mon équipe de départ. Tout le monde savait qui allait jouer, a expliqué Mourinho, lundi en conférence de presse, en référence notamment à sa ligne arrière composée de Pepe et Varane dans l’axe, ainsi que de Sergio Ramos à droite pour compenser l’absence d’Arbeloa. Mais cette fois, nous allons pouvoir évoluer avec des joueurs capables de s’adapter à un autre système, qui n’est pas habituel.» Concrètement, Michael Essien devrait rentrer dans le onze de départ en position d’arrière droit. L’ancien de Chelsea, milieu de formation, a déjà dépanné à ce poste-là. Sa titularisation permettra à Sergio Ramos de glisser dans l’axe aux côtés de Varane, ce qui relèguera Pepe sur le banc. Et apportera surtout de la densité physique dans le coeur du jeu, ce qui a cruellement manqué à Madrid dans la Ruhr.

Sergio Ramos : «Le coach insiste sur l'agressivité et il a raison»

«Mon équipe s’est montrée tellement naïve et innocente que Lewandowski a marqué quatre buts. Je veux que les joueurs pensent à être plus agressifs et que cela se matérialise sur le terrain, a développé Mourinho. J’ai lu que le derby de samedi(victoire 2-1 contre l’Atlético) était ennuyeux. Mais moi, j’ai vu une équipe agressive», et c’est exactement ce qu’il attend d’elle à nouveau, mardi. Même si Sergio Ramos n’a pas voulu confirmer qu’il serait replacé dans l’axe, le capitaine et élément central du dispositif défensif madrilène a convenu que «le meilleur moyen d’arrêter l’adversaire» est d’effectuer un «travail plus collectif plus qu’individuel». «Le coach insiste sur l’agressivité et il a raison», a ajouté l’international espagnol, prêt à en découdre avec le meilleur buteur de Bundesliga (23). «Depuis des semaines, mon nom est souvent cité, avait annoncé l'attaquant de Dortmund, que le Bayern Munich convoite ardemment pour la saison prochaine. Mais je pense que je joue encore mieux sous la pression».Le Real est prévenu, à lui maintenant de faire le nécessaire.

Chapuisat et les héritiers de 1997


Chapuisat et les héritiers de 1997

Vainqueur de la Ligue des champions avec le Borussia Dortmund en 1997, la seule remportée par le club de la Ruhr, Stéphane Chapuisat estime la bande de Jürgen Klopp capable d'inscrire à son tour son nom au palmarès.
En s'imposant 4-1 à l'aller face au Real Madrid, le Borussia Dortmund a pris une sérieuse option sur la qualification pour la finale de la C1. (L'Equipe)
En s'imposant 4-1 à l'aller face au Real Madrid, le Borussia Dortmund a pris une sérieuse option sur la qualification pour la finale de la C1. (L'Equipe)



«Stéphane Chapuisat, le Borussia Dortmund est en passe de se qualifier pour la finale de la Ligue des champions. Cela doit vous rappeler des souvenirs, non ?
Oui bien sûr. Ça fait énormément plaisir, et j’espère qu’ils iront au bout. Quand on est aussi proche d’un trophée, comme c’est leur cas, ce n’est beau que si on le gagne.
«La grande différence, c'est que nous, à l'époque, on était une équipe un peu "fabriquée"»Le maillot jaune et noir excepté, y a-t-il des similitudes entre le Borussia que vous avez connu et celui de Jürgen Klopp ?
C’est un peu le même schéma : ils ont obtenu des succès en Championnat avant d’en avoir également sur la scène européenne. La grande différence, c’est que nous, à l’époque, on était une équipe un peu "fabriquée". On avait été acheté de partout à un âge plus mûr. Là, le club est allé chercher de bons jeunes. Il a bien travaillé avec eux, et le succès est monté gentiment. Ils ont réussi à se hisser au niveau du Bayern. Ça fait avancer tout le monde.

Et sur le plan du style de jeu ?
A ce niveau-là, c’est la même chose. Comme eux, on voulait gagner et jouer de manière spectaculaire. On avait également les individualités pour…

Quelle est la part de responsabilité de Jürgen Klopp dans cette réussite ?
Pour moi, c’est peut-être le meilleur transfert du Borussia. Il a fait un super boulot ! Il a réussi à tirer le meilleur de chaque joueur, il est très enthousiaste, il a su insuffler sa philosophie. Si le Borussia en est là aujourd’hui, c’est en grande partie grâce à lui.
«Même s'ils ont fait un très bon résultat à l'aller, on ne sait jamais»
Malgré tout, retrouver le Borussia à ce niveau-là vous surprend-il ?
Oui, dans la mesure où le Borussia restait sur deux années avec pas mal de problèmes sur la scène européenne. Ils avaient été éliminés assez vite en Ligue Europa, puis en C1. Qu’ils soient capables d’aller au bout dès cette année, oui, ça me surprend un peu.

Les pensez-vous capables de devenir les héritiers de 1997 ?
Ils peuvent le faire. Mais attention, il faudra quand même faire un gros match contre le Real. Même s’ils ont fait un très bon résultat à l’aller (4-1), on ne sait jamais. A ce niveau, il ne faut vraiment pas se louper. Après, s’ils se qualifient pour la finale, sur un match, tout est possible».


«3-0 et on va à Wembley»


«3-0 et on va à Wembley»

Malgré la défaite du Real Madrid à Dortmund au match aller (4-1), la presse espagnole croit encore à la qualification des Merengue en finale de la Ligue des champions. Les Allemands, eux, n'imaginent pas une seule seconde une élimination en demi-finales.
La Une de Marca et Kicker mardi. (D.R)

La Une de Marca et Kicker mardi. (D.R)



Insurmontable une défaite 4-1 au match aller ? Pas pour la presse espagnole, qui croit dur comme fer à la qualification en finale du Real Madrid face au Borussia Dortmund mardi, bien qu’ils n’aient statistiquement que 12% d’y parvenir. Pour As, il faudra avoir de «la foi et de l’enthousiasme» pour espérer apercevoir Wembley. Mais les Madrilènes sont capables d’exploits et ont déjà renversé des montagnes par le passé. Le quotidien espagnol le rappelle dans sa Une avec en images les plus grands retournements de situation réalisés par le Real. «3-0, et on va à Wembley !» pronostique pour sa partMarca qui espère une «nuit de légende avec un Bernabeu qui marquera le premier but». Une référence au stade madrilène dont les supporters ont prévu de venir tous en blanc pour soutenir leur équipe.

«Dortmund est dans le ciel du football»

Du côté allemand, la qualification du Borussia Dortmund en finale de la Ligue des champions ne fait aucun doute. Kicker se met même déjà à l’anglais dans sa Une pour préparer la finale qui aura lieu à Londres. «Road to Wembley» titre-t-il, avec l’incontournable Lewandowski, auteur d’un quadruplé au match aller, en photo. Pour Bild, Dortmund est dans le «dans le ciel du football» grâce à son quatuor Reus, Sahin, Götze et Lewandowski. Le quotidien allemand espère que le Bayern et le Borussia ne trembleront pas et se qualifieront pour la «finale du siècle».

C1: «À la fin, c'est l'Allemagne qui gagne»


«À la fin, c'est l'Allemagne qui gagne»



Vous êtes une majorité à penser que Dortmund et le Bayern parviendront à conserver leur avantage en demi-finales retour de la Ligue des champions pour se qualifier en finale. Mais celle-ci n'est pas écrasante (41%). Ce qui laisse leurs chances aux Real et Barça.
Dortmund va-t-il se qualifier pour la finale ? Oui, selon vous.

Dortmund va-t-il se qualifier pour la finale ? Oui, selon vous. (L'Equipe)

«Real-Barça en finale, vous y croyez ?» Telle était question posée lundi en substance dans notresondage à la veille des demi-finales retour de Ligue des champions. Sans grande surprise, vous êtes une majorité à avoir répondu «non» en préférant cocher la case "Borussia Dortmund-Bayern Munich" à 41%. Selon vous, cela ne fait aucun doute que l'édition 2013 reviendra à un club allemand. «Le football est un jeu qui se joue à 11... et à la fin c'est l'Allemagne qui gagne, rappelle par exemple sylvain87Le Bayern sait tenir un score. Et il ne va pas exploser demain soir. Peut-être (le Barça va-t-il gagner par) deux buts d'écart mais pas quatre et... ils vont marquer aussi !» Mas69 se montre encore plus sûr de lui :«Pour les rêveurs ou les amnésiques, le Real a pris huit buts en trois matches contre Dortmund», en référence aux deux matches de poules déjà disputés entre les deux équipes (ndlr, 1-2, 2-2 et 1-4 en demie aller).

«Le Barça est l'équipe qui peut créer des miracles»

Mais si le choc entre géants de Bundesliga a recueilli la plupart de vos faveurs, les trois autres propositions ne sont pas en reste pour autant. 14% des quelque 5474 votants pensent notamment qu'il y aura bien un Clasico à l'affiche en finale, tandis que 29% croient aux chances du Real mais pas en celles du Barça. Enfin 16% voient Barcelone réussir un exploit contre le Bayern pour rejoindre Dortmund à Wembley. «Le Barça est l'équipe qui peut créer des miracles. Je crois à la qualification du Barça», préditmanixx 29«Je pense que ce n'est pas du tout impossible que le Real et le Barça marquent quatre fois,complète stesprit13. Mais j'ai du mal à croire que le Dortmund et le Bayern ne marquent pas, vu leur potentiel», ajoute-il néanmoins.
«Si Messi et Ronaldo ne sont pas en forme, Barça et Real ne passeront pas.»Pour gentblaugrana29, un incroyable renversement de situation favorable aux clubs espagnols n'est en effet pas à exclure. Il semble même déjà en connaître le scénario :«Imaginez juste : Neuer expulsé comme dernier défenseur au bout de 10 minutes et 1-0 pour Barça. Un autre but un quart d'heure après. Le Bayern à 10 et mené 2-0 au bout de 25 minutes...» La suite on l'imagine, c'est la qualification des Catalans, rendue possible uniquement si sa star Lionel Messi est dans un bon jour. Condition nécessaire également pour le Real avec Cristiano Ronaldo. «Si ces deux-là ne sont pas en forme, ils ne passeront pas», affirme Eminem31. «C'est vrai que la légende du football s'écrit notamment grâce aux retournements de situation, conclut red baron.Mais au regard du niveau de jeu proposé par les Espagnols aux matches aller, la question ne se pose même pas».

29 avril 2013

C1/Real Madrid-Dortmund: «Remontada», mode d'emploi


C1/Real Madrid-Dortmund: «Remontada», mode d'emploi


Cristiano Ronaldo, le 24 avril 2013 à Dortmund.
Cristiano Ronaldo, le 24 avril 2013 à Dortmund. I.FASSEBENDER/REUTERS

Le club madrilène est spécialiste des retournements de situation à domicile...

Il faut avoir vécu un jour en Espagne pour le voir. Voir ce supporterisme exacerbé de la presse sportive locale, cette agitation attendrissante des socios, ces vieilles vidéos en VHS ressorties du placard par les journaux télévisés…Tout ça pour célébrer l’art de la «remontada». Car en Espagne et surtout à Madrid, la «remontada», ou le retournement de situation, ne doit rien au hasard. Elle obéit soigneusement aux mêmes règles depuis les années 80 et les exploits de la «Quinta del buitre». Pour espérer remonter quatre buts à Dortmund et rejoindre la finale de la Ligue des champions, le Real sait les étapes à suivre.
En appeler aux mythes
Faire revivre le glorieux passé, c’est le rôle des éditorialistes de la presse spécialisée. Dès la fin du match aller, les plus influents ont lancé «l’opération 3-0», et rappelé les précédents qui ont fait la légende merengue: Anderlecht, Mönchengladbach ou l’Inter Milan. C’est avant le match retour face aux Italiens (0-2 à l’aller), en 1985, que Juanito, un attaquant du Real, théorise le concept de «remontada» à Bernabeu. «Il faut à tout prix donner le coup d’envoi. Et frapper en premier, avant que l’adversaire n’ait pu toucher le ballon. Peu importe si c’est cadré ou si c’est en tribunes». Le très cultivé Jorge Valdano intellectualise le procédé d’intimidation en empruntant à Garcia Marquez le concept de «miedo escenico», cette «peur panique» censée envahir tout adversaire pénétrant sur la pelouse madrilène. Plus terre à terre, Mourinho préfère ne pas trop jouer sur la corde mythologique: «Je respecte énormément l’histoire. Mais le tableau d’affichage ne nous est vraiment pas favorable et c’est compliqué d’avancer que nous pouvons passer.» Compliqué, mais pas impossible.
Conditionner le public
Les socios espagnols, au Camp Nou comme à Santiago Bernabeu, viennent d’abord voir un spectacle. Applaudir, si ça en vaut la peine, mais encourager, très peu pour eux. Sauf lors des grandes occasions. A charge de l’institution et des joueurs de chauffer à blanc leur public avant la rencontre. «On joue notre vie mardi, le public doit faire monter l’ambiance dès les premières secondes»,demande Sergio Ramos. Le défenseur de la Roja a également participé à un clip officiel du club «spécial remontada», dans lequel même Cristiano Ronaldo se fend d’un message pour les supporters: «Nous n’y arriverons que si vous êtes à nos côtés.» Ceux qui auraient échappé à ces incantations guerrières ont reçu un mail signé leur demandant de se rendre au stade «vêtus de blanc et prêts à encourager leur équipe comme jamais». Le genre de mobilisation qui paye, comme en 2005, lorsque 40.000 socios avaient rempli Bernabeu pour voir rejouer… six minutes d’un match contre la Real Sociedad. Suffisant pour que le Real parvienne à l’emporter.
Jouer le tout pour le tout d'entrée
José Mourinho, qui ne passe pas pour l’entraîneur le plus offensif du monde, sait qu’il joue sa réputation sur cette demi-finale retour. Débauché à prix d’or par le Real pour lui faire gagner une dixième C1, le Portugais a déjà échoué deux fois à ce stade de la compétition. A chaque fois, ses consignes attentistes à l’aller ont obligé son équipe à chercher l’exploit au retour sans y parvenir. Va-t-il changer ses plans face à Dortmund? «En Allemagne, chacun savait quel onze allait débuter. La situation ici pourrait être différente. Je peux utiliser de nouveaux joueurs ou un nouveau système», répond le «Spécial one». Les dernières rumeurs évoquent une titularisation de Modric au milieu aux côtés de Xabi Alonso, derrière le quatuor habituel Ozil-Ronaldo-Higuain-Di Maria. Mourinho pourrait aussi choisir d’y ajouter Benzema d’entrée. Ca rapprocherait son onze de départ de celui aligné par Luxemburgo lors de la dernière tentative de «remontada» du Real Madrid, après un 6-1 concédé en Coupe d’Espagne en 2006. Beckham, Julio Baptista, Zidane, Robinho, Ronaldo et Raul avaient tous débuté. Et inscrit trois buts en moins d’un quart d’heure. Pile ce qu’il faudrait mardi soir.


Mourinho à Chelsea


Transferts: Mourinho à Chelsea avec Falcao la saison prochaine?

José Mourinho, l'entraîneur du Real Madrid, le 17 janvier 2012, à Madrid.

FOOTBALL - La presse allemande annonce le retour du «Mou» en Premier League...

Si le départ de José Mourinho du Real Madrid ne fait plus guère de doute, le nom de sa future destination est encore inconnu. Pour le journal allemand Bild,l’entraîneur portugais préparerait actuellement son retour à Chelsea, où il a entraîné entre 2004 et 2007. Un contrat de trois ans l’attendrait chez les Blues pour remplacer Rafa Benitez.
En conflit avec quelques cadres du vestiaire, dont Iker Casillas et Sergio Ramos, le «Special one» n’a jamais caché son envie de retravailler avec Roman Abramovitch à Chelsea, où il avait laissé échapper la Ligue des champions. Avec lui, l’attaquant de l’Atlético Radamel Falcao pourrait effectuer le voyage Madrid-Londres. Sous contrat jusqu’en 2016, Falcao l’attaquant colombien pourrait être transféré contre une indemnité de transfert de 60 millions d’euros.

Mourinho : «Mon avenir ne dépend pas de ce match»


Mourinho : «Mon avenir ne dépend pas de ce match»








José Mourinho n'a pas apprécié que la presse allemande raconte, après la demi-finale aller de Ligue des champions entre le Borussia Dortmund et le Real Madrid (4-1), qu'il aurait pu faire des confidences sur son avenir à son homologue Jurgen Klopp. «C'est une honte que les gens de ce journal (ndlr, Bild) aient dit cela, je ne lui ai fait aucune déclaration et je ne lui ai encore moins dit que j'allais à Chelsea. C'est la vérité», a assuré le coach madrilène, lundi en conférence de presse. «Mon avenir ne dépend pas de ce match, a-t-il poursuivi. Mais si quelqu'un a une surprise pour moi...»

Accord avec Ancelotti ? Mourinho ne «sait rien»

Sous contrat avec le Real jusqu'en 2016, Mourinho aurait déjà fait part à son vestiaire de son probableretour la saison prochaine chez les Blues, mais attendra quoi qu'il arrive le terme de celle-ci pour se prononcer publiquement. Pendant ce temps-là, l'arrivée de Carlo Ancelotti pour le remplacer à Madrid est de plus en plus évoquée de l'autre côté des Pyrénées. Lundi matin, la radio Cadena Cope a même parlé d'un accord conclu avec l'entraîneur du PSG. «Je ne sais rien d'éventuelles négocations entre le club et Ancelotti», s'est contenté de déclarer Mourinho, sans en rajouter.

Palmarès Ligue des Champions

Palmarès Ligue des Champions

 
La Ligue des Champions est une compétition européenne ouverte aux meilleures équipes des championnats européens de football. De 1955 à 1991 cette épreuve s'appelait Coupe des Clubs Champions et se déroulait en match aller-retour. Ce n'est qu'à partir de 1992, lors de l'introduction d'une phase de poule, que cette compétition fut renommé Ligue des Champions. Le palmarès est dominé par leReal Madrid avec 9 C1 dont 5 lors des 5 premières éditions. Au niveau des nations, 11 pays différents ont eu un de leur représentant gagner la Coupe aux grandes oreilles. L'Espagne a remporté 13 Champion's league, l'Angleterre et l'Italie 12. Loin derrière figure la France qui n'a gagné qu'une Ligue des Champions par l'intermédiaire de l'Olympique Marseille en 1993.
Coupe Ligue des Champions

   VainqueurScoreFinaliste  
2012AngleterreChelsea FC1 - 1 (4 - 3 tab)Bayern MunichAllemagne
2011EspagneFC Barcelone3 - 1Manchester UnitedAngleterre
2010ItalieInter Milan2 - 0Bayern MunichAllemagne
2009EspagneFC Barcelone2 - 0Manchester UnitedAngleterre
2008AngleterreManchester United1 - 1 (6 - 5 tab)Chelsea FCAngleterre
2007ItalieMilan AC2 - 1Liverpool FCAngleterre
2006EspagneFC Barcelone2 - 1Arsenal FCAngleterre
2005AngleterreLiverpool FC3 - 3 (3 - 2 tab)Milan ACItalie
2004PortugalFC Porto3 - 0AS MonacoFrance
2003ItalieMilan AC0 - 0 (3 - 2 tab)Juventus TurinItalie
2002EspagneReal Madrid2 - 1Bayer LeverkusenAllemagne
2001AllemagneBayern Munich1 - 1 (5 - 4 tab)Valence CFEspagne
2000EspagneReal Madrid3 - 0Valence CFEspagne
1999AngleterreManchester United2 - 1Bayern MunichAllemagne
1998EspagneReal Madrid1 - 0Juventus TurinItalie
1997AllemagneBorussia Dortmund3 - 1Juventus TurinItalie
1996ItalieJuventus Turin1 - 1 (4 - 2 tab)Ajax AmsterdamPays-Bas
1995Pays-BasAjax Amsterdam1 - 0Milan ACItalie
1994ItalieMilan AC4 - 0FC BarceloneEspagne
1993FranceOlympique Marseille1 - 0Milan ACItalie
1992EspagneFC Barcelone1 - 0 apSampdoria GênesItalie
1991SerbieEtoile Rouge Belgrade0 - 0 (5 - 3 tab)Olympique MarseilleFrance
1990ItalieMilan AC1 - 0Benfica LisbonnePortugal
1989ItalieMilan AC4 - 0Steaua BucarestRoumanie
1988Pays-BasPSV Eindhoven0 - 0 (6 - 5 tab)Benfica LisbonnePortugal
1987PortugalFC Porto2 - 1Bayern MunichAllemagne
1986RoumanieSteaua Bucarest0 - 0 (2 - 0 tab)FC BarceloneEspagne
1985ItalieJuventus Turin1 - 0Liverpool FCAngleterre
1984AngleterreLiverpool FC1 - 1 (4 - 2 tab)AS RomeItalie
1983AllemagneHambourg SV1 - 0Juventus TurinItalie
1982AngleterreAston Villa FC1 - 0Bayern MunichAllemagne
1981AngleterreLiverpool FC1 - 0Real MadridEspagne
1980AngleterreNottingham Forest1 - 0Hambourg SVAllemagne
1979AngleterreNottingham Forest1 - 0Malmö FFSuède
1978AngleterreLiverpool FC1 - 0FC BrugesBelgique
1977AngleterreLiverpool FC3 - 1Borussia
Mönchengladbach
Allemagne
1976AllemagneBayern Munich1 - 0AS Saint-EtienneFrance
1975AllemagneBayern Munich2 - 0Leeds UnitedAngleterre
1974AllemagneBayern Munich1 - 1, 4 - 0Atlético MadridEspagne
1973Pays-BasAjax Amsterdam1 - 0Juventus TurinItalie
1972Pays-BasAjax Amsterdam2 - 0Inter MilanItalie
1971Pays-BasAjax Amsterdam2 - 0Panathinaïkos AthènesGrèce
1970Pays-BasFeyenoord Rotterdam2 - 1 apCeltic GlasgowEcosse
1969ItalieMilan AC4 - 1Ajax AmsterdamPays-Bas
1968AngleterreManchester United4 - 1 apBenfica LisbonnePortugal
1967EcosseCeltic Glasgow2 - 1Inter MilanItalie
1966EspagneReal Madrid2 - 1Partizan BelgradeSerbie
1965ItalieInter Milan1 - 0Benfica LisbonnePortugal
1964ItalieInter Milan3 - 1Real MadridEspagne
1963ItalieMilan AC2 - 1Benfica LisbonnePortugal
1962PortugalBenfica Lisbonne5 - 3Real MadridEspagne
1961PortugalBenfica Lisbonne3 - 2FC BarceloneEspagne
1960EspagneReal Madrid7 - 3Eintracht FrancfortAllemagne
1959EspagneReal Madrid2 - 0Stade de ReimsFrance
1958EspagneReal Madrid3 - 2 apMilan ACItalie
1957EspagneReal Madrid2 - 0AC FiorentinaItalie
1956EspagneReal Madrid4 - 3Stade de ReimsFrance