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30 juin 2013

Juventus : Fernando Llorente arrive lundi !

Après Carlos Tévez, la Juventus Turin va s’offrir définitivement les services d’un autre attaquant reconnu. En effet, les Bianconeri vont voir débarquer ce lundi dans le Piémont un certain Fernando Llorente.

Le club turinois l’annonce sur son site officiel : « Après Carlos Tévez, voici l’heure de Fernando Llorente. L’attaquant espagnol est prêt à démarrer sa nouvelle aventure chez les Bianconeri. Il sera là lundi 1er juillet, notamment pour la visite médicale. Il sera présenté le mardi 2, vers 16h, au Juventus Stadium ».




Mercato, le journal des transferts du 29 juin

Le marché des transferts a ouvert officiellement ses portes le 11 juin 2013. Retrouvez sur topmercato.com les informations officielles, les rumeurs et les buzz du mercato estival. Voici l'édition du 29 juin 2013.


OM :
 Alessandrini serait toujours enclin à signer à Marseille en dépit des refus successifs de son club, le Stade Rennais.

ASSE : Aubameyang serait convoité par Everton alors qu'à ce jour, aucune offre ne serait parvenue sur le bureau des dirigeants du club stéphanois.

PSG : Sakho hésite encore concernant son avenir. Le joueur privilégie de rester à Paris à condition d'avoir des assurances sur son temps de jeu la saison prochaine.

Lille : Rio Mavuba, qui avait déjà évolué en 2007 à Villarreal, envisagerait de tenter une nouvelle expérience à l'étranger la saison prochaine.

Monaco : Patrice Evra, poussé vers la sortie à Manchester United, en cas d'arrivée de Leighton Baines, pourrait rebondir du côté de La Principauté. 


LE BUZZ


PSG : Le FC Barcelone aurait envoyé un émissaire au Brésil pour tenter de convaincre le défenseur du PSG, Thiago Silva de signer en Catalogne la saison prochaine.

Real Madrid : Ancelotti, le nouvel entraineur du Real Madrid, ne serait pas aussi motivé que ses dirigeants à faire venir le milieu de terrain de TottenhamGareth Bale.

Everton : Le président des Toffees est très en colère envers Manchester United qui n'arrête pas de solliciter son défenseur, Leighton Baines alors que l'international anglais est sous contrat.

Arsenal : Les représentants de l'attaquant ivoirien, Gervinho, auraient rencontré cette semaine le président de l'OM, Vincent Labrune, pour discuter transfert.

Juventus : Fernando Llorente, la nouvelle recrue de la Juventus devrait être présentée ce lundi aux médias. Le joueur avait été transféré en janvier dernier mais avait été laissé à la disposition de son club actuel, Bilbao.

LE BUZZ

Chelsea : Edinson Cavani aurait donné son accord pour rejoindre le club londonien moyennant un salaire de 8,5 millions d'euros annuels. Il ne resterait plus qu'au deux clubs, Chelsea et le Napoli, de se mettre d'accord pour le transfert.

Coupe des Confédérations: Brésil-Espagne : Célébration avant dépression

Officiellement, et sans compter les milliers de personnes qui ont pénétré dans le stade à la dernière minute, 152 772 personnes ont assisté à la confrontation entre le Brésil et l'Espagne le 13 juillet 1950. À la dixième minute de la deuxième période, alors que la Seleção venait de marquer le but du 4:0, 152 771 spectateurs ont commencé à agiter des mouchoirs blancs et entonnés un chant. Mais une personne n'a pas pu, trop occupée à pleurer.

Célébration avant dépression

Tout le monde a chanté, à l'exception de Carlos Alberto Ferreira Braga, trop ému d'entendre son air composé en collaboration avec Alberto Ribeiro repris par autant de monde. Comme si un stade entier avait inconsciemment voulu compenser l'immense tristesse à venir, trois jours plus tard.

Cinquième match de l'équipe du Brésil dans cette Coupe du Monde de la FIFA™, le duel contre l'Espagne était à la hauteur de l'euphorie qui était en train de gagner le pays, après la victoire 7:1 contre la Suède dans le premier match de ce tournoi final à quatre. Les hommes dirigés par Flávio Costa ont battu 6:1 la Furia, ainsi surnommée à l'époque. Et si le Brésil de Jair, Zizinho, Chico et du buteur Ademir avait été capable de passer six buts au gardien Antonio Ramallets et à ses coéquipiers Agustín "Piru" Gaínza et Telmo Zarra, le nul nécessaire au Brésil contre l'Uruguay pour être champion du monde avait tout d'une simple formalité en apparence, surtout dans un Maracanã forcément acquis à la cause du pays hôte.

Des mouchoirs pour pleurer
"Je pense que c'est ce soir-là que le Brésil a perdu la Coupe du Monde, à cause de la fête qu'il y a eue dans tout le pays. On sentait bien que le Brésil pensait avoir gagné la Coupe du Monde. Mais une victoire remportée dans la tête n'en est évidemment pas une", affirme à FIFA.com Mário Jorge Lobo Zagallo, qui était présent au stade ce jour-là comme jeune soldat de la police militaire chargé d'assurer la sécurité au Maracanã, comme il devait le faire de nouveau trois jours plus tard à l'occasion de la défaite historique contre l'Uruguay (2:1). "C'est difficile de croire qu'il s'agissait du même stade. D'une certaine manière, tous ces mouchoirs contre l'Espagne annonçaient les larmes à sécher face à l'Uruguay."
Dimanche soir 30 juin, l'Espagne sera de retour au Maracanã pour y affronter le Brésil en finale de la Coupe des Confédérations de la FIFA 2013. Beaucoup de choses ont changé, à commencer par le stade, qui accueille aujourd'hui un peu plus de 70 000 personnes. L'époque du fameux "complexe" brésilien est révolue depuis longtemps et l'enjeu sera cette fois l'hégémonie historique de la Seleçãosur le football mondial, opposée à la suprématie actuelle de la Roja. Par conséquent, que l'issue de cette finale soit heureuse ou non pour le pays organisateur, une nouvelle page marquante du football sera écrite à l'occasion de ce Brésil-Espagne.

Coupe des Confédérations: Neymar face à l'histoire

Dans cette Coupe des Confédérations de la FIFA, les supporters brésiliens pourraient vivre le même type d'expérience que ceux de Santos au cours des saisons passées ou celle que devraient connaître les fans de Barcelone lors des saisons à venir. Cette expérience est simple : dès que Neymar reçoit le ballon, le stade s'attend à ce que quelque chose de spécial se passe.

Neymar face à l'histoire

Cela s'est produit contre le Japon, lors du match d'ouverture, avec ce but fabuleux dès la troisième minute de jeu. Cela s'est reproduit dans le temps additionnel du match face au Mexique, lorsque la nouvelle recrue de Barcelone a trouvé un espace improbable pour adresser un ballon décisif à Jô.
Mais à la veille de la confrontation entre le Brésil et l'Espagne, ce dimanche 30 juin au Maracanã, Neymar doit faire face à l'angoisse de négocier au mieux un moment unique dans le football, peut-être le match le plus important de sa jeune carrière. "C'est une grande finale, qui a tout pour être un match historique. Nous le savons", explique-t-il à FIFA.com. "Nous espérons pouvoir inscrire notre nom dans l'histoire du football, surtout dans un stade comme le Maracanã."
Pour un garçon de 21 ans, rien d'anormal à ressentir une certaine anxiété à l'idée d'affronter la meilleure équipe du monde, qui compte dans ses rangs certaines de ses idoles, dans un stade mythique. Et cette anxiété ne doit pas être confondue avec de la nervosité. Pourtant c'est de plus en plus relax et confiant face au bataillon de journalistes que Neymar parle. Jeudi 27 juin, après la très difficile qualification espagnole suite de tirs au but contre l'Italie, il avait dit à son coéquipier Thiago Silva qu'il aimerait bien jouer la finale vendredi. "Mais il faut savoir être patient, n'est-ce pas ?",  avait-il ajouté en rigolant.
Pour entrer dans l'histoireToute finale suscite évidemment chez les joueurs qui y participent un mélange de sentiments. La star de la Seleção a déjà vécu cela avec Santos, mais pas dans un temple comme le Maracanã. Pas avec le numéro 10 du Brésil sur les épaules. Pas contre des adversaires qui comptent parmi les joueurs qu'il admire le plus dans le football, et qu'il a déjà battus de nombreuses fois... sur console vidéo.
"Le monde entier attendait le Brésil et l'Italie en finale, même nous. Nous allons jouer contre les meilleurs du monde, la meilleure sélection du monde" confirme Neymar qui laisse le costume de favori à la Roja "en raison de son palmarès depuis 2008 : deux UEFA EUROS et une première Coupe du Monde de la FIFA™". Mais les politesses s'arrêtent là. "Nous savons qu'il faut avoir du respect, mais sur le terrain, il faut s'imposer. L'Espagne possède des stars, le Brésil aussi."
Et de poursuivre : "Nous devons jouer au football, sans dépendre de qui que ce soit. Nous allons affronter la meilleure équipe du monde, les meilleurs joueurs du monde, mais nous aussi nous avons beaucoup de joueurs talentueux. Le respect est grand, il va même jusqu'à l'admiration mais sur le terrain, notre football est très bon et nous avons une confiance énorme les uns dans les autres. Nous avons les moyens de faire un grand match dimanche."
Comme s'il n'y avait pas suffisamment de choses en jeu, cette finale de Coupe des Confédérations de la FIFA marque également les adieux de Neymar aux pelouses brésiliennes, comme l'a rappelé un journaliste lors de la conférence de presse. Après le Maracanã, il prendra la direction du Camp Nou. La remarque l'a d'ailleurs pris au dépourvu. "Je n'avais pas pensé à ça", affirme celui qui avait fait ses adieux aux supporters de Santos lors d'une rencontre de championnat du Brésil contre Flamengo, disputé à l'Estádio Nacional Mané Garrincha, l'enceinte même qui a accueilli le match d'ouverture du Festival des Champions. À cette occasion, il avait pleuré, bien conscient qu'une page importante de sa carrière était en train de se tourner. "Je ne sais pas comment ça va être. Je ne sais pas si je vais pleurer. Mais l'émotion sera là, c'est certain", conclut-il.
Au-delà de l'au revoir aux supporters brésiliens, Neymar s'attend quant à lui à un match, comme il le dit lui-même, qui a tout pour être historique, et dans lequel il espère apporter sa contribution. Façon habile de transférer l'anxiété… au public.

Coupe des Confédérations: Uruguay - Italie : Satisfaits...et revanchards

Satisfaits...et revanchards

Malgré leur défaite en demi-finales de la Coupe des Confédérations de la FIFA, Brésil 2013, Italiens et Uruguayens gardent la tête haute. En effet, les Azzurri ont bien failli surprendre les champions du monde espagnols et ne se sont inclinés qu'au terme d'une séance de tirs au but accrochée. De leur côté, les Charrúas ont eu plusieurs fois l'occasion d'éliminer les hôtes brésiliens avant que Paulinho ne les condamne à disputer le match pour la troisième place.
Au vu de ces performances, les deux équipes se montrent plutôt optimistes quant à leur préparation pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. C'est donc sans pression, mais logiquement fatigués, que l'Italie et l'Uruguay se préparent pour tenter d'accrocher une place sur le podium, dimanche 30 juin à l'Arena Fonte Nova de Salvador.
Déçus mais heureuxRien d'étonnant à ce que Cesare Prandelli et ses troupes regrettent l'élimination sur le fil face à l'Espagne. Pourtant, la satisfaction reste le sentiment dominant au sein du groupe, comme le confirment en exclusivité pour FIFA.com plusieurs membres de la Nazionale.
Auteur du penalty manqué qui a condamné l'Italie, Leonardo Bonucci préfère se concentrer sur l'expérience emmagasinée lors du tournoi. "Dans l'ensemble, nous sommes satisfaits car nous avons véritablement posé problème aux champions du monde. Nous avons mis en place des fondations solides en vue de la Coupe du Monde et nous devons simplement continuer sur cette voie", avance avec conviction le défenseur.
Alberto Gilardino, placé à la pointe de l'attaque italienne contre la Roja, retient quant à lui l'expérience accumulée et les bons moments passés en terre sud-américaine. "Footballistiquement parlant, c'était intéressant et enrichissant pour nous. De plus, j'ai adoré le Brésil. Nous avons beaucoup voyagé, nous avons vu de nouveaux stades et avons profité d'une ambiance exceptionnelle. Les Brésiliens transmettent leur passion ; c'était très émouvant", se félicite le joueur de Bologne.
Selon Emanuele Giaccherini, l'un des hommes forts de la compétition, l'Italie peut partir la tête haute mais n'a pas encore dit son dernier mot. "Même si ça sera difficile en raison de la courte période de récupération, nous voulons accrocher la troisième place. C'est évident que ce n'est pas comme jouer la finale mais il faudra respecter ce tournoi si important jusqu'au bout."
Concentration maximaleFiers de leurs couleurs et assoiffés de victoire, les Uruguayens accordent tout autant d'importance que leurs futurs adversaires à cette "petite" finale. "Chaque fois que nous enfilons le maillot celeste, c'est pour gagner. Et pour nous, cette troisième place représente beaucoup", explique Luis Suárez, candidat au Ballon d'Or adidas de la Coupe des Confédérations. "Le fait d'avoir raté le podium contre l'Allemagne à la Coupe du Monde 2010 m'est resté en travers de la gorge !"
Son coéquipier Diego Godín partage le même souvenir amer et considère que le revers face au Brésil rend encore plus important le match face à la Squadra, contre qui l'Uruguay affiche un bilan favorable avec trois victoires et deux nuls pour deux défaites. "Nous étions tous tristes de rester aux portes de la finale mais désormais, l'objectif est de battre l'Italie : c'est très différent de finir troisième ou quatrième", déclare le pensionnaire de l'Atlético de Madrid.
Si aucune des deux équipes ne pourra brandir le trophée au Maracaña, toutes deux aborderont la rencontre avec la satisfaction du devoir accompli, mais surtout avec la volonté de quitter le tournoi sur une note positive. Nul doute donc que les spectateurs présents à Salvador pourront profiter d'un match de très haut niveau, à l'image des prestations offertes par l'Italie et l'Uruguay tout au long du tournoi.

Del Bosque : "Les Brésiliens sont les parents du football"

Vicente Del Bosque est un modèle de tranquillité et de sagesse, deux qualités qui définissent parfaitement la sélection qu'il dirige depuis cinq ans. Cinq années durant lesquelles il a conquis une Coupe du Monde de la FIFA™ et un UEFA EURO, en plus d'une reconnaissance quasi unanime pour le style de jeu qu'il préconise, au point de devenir une sorte de paradigme pour la communauté internationale du football.

Del Bosque : "Les Brésiliens sont les parents du football"

À quelques heures d'affronter le pays hôte dans le mythique Maracaña en finale de la Coupe des Confédérations de la FIFA, seul trophée qui manque dans la vitrine espagnole, l'Entraîneur de l'Année 2012 a répondu en exclusivité aux questions de FIFA.com.
Vicente Del Bosque, si l'on réfléchit en termes de développement et non pas de résultats, quelles conclusions – positives comme négatives – avez-vous tirées de la demi-finale contre l'Italie ?Nous avons eu des moments difficiles. L'Italie est l'équipe qui nous a posé le plus de problèmes, principalement par ses qualités, mais aussi à cause de quelques erreurs de notre part. Nous nous sommes trop découverts. Nous nous en sommes aperçus assez vite, mais nous n'avons pas réussi à résoudre le problème avant la deuxième période. Et puis, nous n'avons pas dominé comme d'habitude. En général, nous avons une possession de 60 à 70 % sur l'ensemble du match. Jeudi, ça a été beaucoup plus équilibré.
Vous avez affirmé ne pas avoir préparé de liste des tireurs pour la séance de tirs au but. C'est surprenant…Ce n'est pas un thème majeur. Nous avons un certain nombre de joueurs capables de tirer les penalties, et l'ordre n'est pas important. Ce n'est pas la même chose que les coups francs, où la consigne est que celui qui se sent le plus en confiance parmi les trois ou quatre bons tireurs prenne l'initiative.
En même temps, vous avez parlé de la manière de travailler avec vos collaborateurs. Comment cela fonctionne-t-il ?Un entraîneur ne doit pas rester dans son monde, ni penser que depuis le banc, il peut résoudre tous les problèmes. Quatre paires d'yeux valent mieux qu'une. Mes collaborateurs m'ont toujours permis d'avoir une meilleure perspective. Tout seul, il est impossible de voir tous les points faibles de l'équipe.
Dans ce contexte, l'entrée en jeu de Javi Martínez au poste d'attaquant a été intéressante. Aviez-vous déjà essayé cette option ou l'avez-vous choisie par rapport au cours du jeu ?Ce n'était pas prévu. C'est quelque chose que nous avons décidé dans le feu de l'action. Le match demandait plus de vitalité, un apport physique supplémentaire et un travail constant dans une zone où Xavi et Iniesta avaient déjà beaucoup donné. Mais je voulais aussi quelqu'un qui sache se démarquer et être efficace dans le jeu aérien. Il y avait plusieurs facteurs et Javi Martínez était le joueur qui correspondait le mieux.
L'Espagne est-elle de plus en plus mise à l'épreuve ?Le fait de gagner des titres vous donne plus de responsabilités. Avant, nous étions candidats au titre, mais aujourd'hui, nous sommes les champions en titre. Il est donc normal que nos adversaires nous connaissent mieux et que pour nous, il soit plus difficile de surprendre. Il n'est pas facile de trouver de nouvelles façons de surprendre. C'est pourquoi nous devons être très appliqués dans tout ce que nous faisons.
L'un de vos points forts reste votre défense, et cela malgré le fait d'avoir une nouvelle charnière centrale. Obtenez-vous la reconnaissance que vous méritez par rapport à cela ?Oui, mais on ne peut pas nous réduire à cela. Il est clair qu'il existe une relation directe entre le fait d'avoir une bonne défense et celui d'avoir beaucoup de possession. Cela permet d'avoir l'initiative. Notre équipe ne regarde pas beaucoup derrière et le mérite en revient en bonne partie à Busquets et Xavi, qui nous donnent de l'équilibre.
Avant de parler du Brésil, parlons de ce que représente pour vos joueurs cette finale et tout ce qu'il y a autour : le Maracaña, l'adversaire, l'enjeu…Mes joueurs sont jeunes et comme tous les gens de leur âge, ils ont des rêves et des espoirs. Le contraire serait malheureux. Et même si ces garçons ont déjà réalisé certains de leurs rêves, il est bon de savoir que ce match en génère de nouveaux. Sans émotion, vous ne pouvez rien faire.
Maintenant, que pouvez-vous nous dire de cette équipe du Brésil ?C'est un adversaire qui n'est pas facile à dominer. Tous les internationaux brésiliens qui évoluent à l'étranger ont beaucoup d'assurance et d'énergie. Dans l'axe, ils ont un très bon équilibre, aussi bien en défense qu'au milieu. C'est une équipe complète, jeune et pleine de vitalité. Nous allons devoir faire attention à ne pas trop subir leur pression d'entrée.
Êtes-vous surpris par les résultats obtenus par Luiz Felipe Scolari en seulement six mois ?Scolari est un grand connaisseur du football brésilien et il a cherché à retrouver son essence, mais avec l'organisation d'une équipe européenne. Il ne possède pas vraiment de stars, mais il a réussi à construire une équipe dans tous les sens du terme. Ce tournoi était un grand test pour eux et ils ont atteint leur objectif d'arriver en finale. 
Y a-t-il un favori pour cette finale ?Je vais vous dire quelque chose de très évident, mais dans un match pareil, les antécédents ne comptent pas. Ils sont les parents du football et nous, nous sommes des débutants au nombre des titres gagnés. Mais le match commencera à zéro zéro.
Pour vous, que signifierait le titre ?Battre le Brésil sur son terrain aurait une portée symbolique importante. Nous avons une grande reconnaissance pour ce que nous avons fait jusqu'ici, et cela vient du fait que nous continuons de gagner. Alors nous devons continuer d'honorer cette responsabilité.

29 juin 2013

Coupe des Confédérations: ITALIE-Marchisio forfait

Au tour de Marchisio, l'hécatombe continue



Le milieu offensif de l'Italie Claudio Marchisio a déclaré forfait en vue du match pour la 3e place de la Coupe des Confédérations contre l'Uruguay dimanche à Salvador (16h00 GMT), s'ajoutant à la liste des quatre joueurs indisponibles, qui pourrait encore s'allonger.
Le forfait du joueur de la Juventus, en raison d'un "traumatisme musculaire" selon l'encadrement de la Nazionale, s'ajoute à ceux du milieu Andrea Pirlo et du défenseur Andrea Barzagli, annoncés dès vendredi.
L'attaquant vedette Mario Balotelli et l'arrière gauche Ignazio Abate avaient quitté le tournoi sur blessure après le troisième match de poule, face au Brésil (2-4) le 22 juin. Outre ces cinq indisponibilités, trois joueurs sont incertains, victimes de douleurs musculaires lors du revers face à l'Espagne jeudi en demi-finale (0-0 a.p., 7-6 t.a.b.): le défenseur Giorgio Chiellini, le milieu Daniele De Rossi et l'attaquant Alberto Gilardino.
"Il m'est impossible de vous annoncer l'équipe qui jouera contre l'Uruguay, parce que nous devons attendre l'entraînement de cet après-midi pour voir sur qui on pourra compter", a déclaré le sélectionneur Cesare Prandelli samedi aux journalistes en conférence de presse.

D. Alves : «Avec nos armes»

Daniel Alves, le latéral droit du Brésil, va retrouver dimanche (00h00) nombre de ses coéquipiers du Barça en finale de la Coupe des confédérations. «Nous devrons faire quelque chose de spécial pour parvenir à nous imposer», a expliqué le défenseur.

Daniel Alves va retrouver ses coéquipiers du Barça. (AFP)

Qui de mieux que Daniel Alves pour évoquer la finale de la Coupe des confédérations face à l'Espagne ? Un pays qu'il connaît bien puisque le latéral brésilien évolue en Liga depuis janvier 2003. D'abord avec le FC Séville jusqu'en 2008, depuis avec le Barça. En finale, il retrouvera ainsi plusieurs de ses coéquipiers de club, avec qui il a échoué cette saison en demie de la Ligue des champions contre le Bayern Munich (0-4, 0-3). Un revers dont pourrait s'inspirer le Brésil pour battre l'Espagne : «Toutes les équipes ont leurs points faibles, eux aussi. Avec le Barça, nous n'avons pas remporté la Ligue des champions parce qu'une autre philosophie s'est imposée à nous. La Seleçao a d'autres qualités. Nous devons nous défendre avec nos armes.»
«Quand on croit tout savoir de nous, nous arrivons encore à surprendre»Double tenant du titre, le Brésil va tenter de le conserver face à la meilleure équipe de ces dernières années, invaincue en compétition depuis 29 matches et une défaite contre la Suisse lors de la Coupe du monde 2010. Pour surprendre la Roja, Dani Alves compte sur la capacité d'adaptation de sa sélection. «Je crois qu'on ne peut jamais décrypter une finale avant de la disputer, a ajouté le défenseur. On ne peut que l'imaginer à travers ce qu'on sait des joueurs adverses. La grande différence, c'est notre capacité d'improvisation. Quand on croit tout savoir de nous, nous arrivons encore à surprendre. Ce sera un jour spécial, nous devrons faire quelque chose de spécial pour parvenir à nous imposer
Pour clore sa conférence de presse, le joueur de 30 ans a repris la devise de son pays, et rappelé que lui et ses coéquipiers allaient tout faire pour enchanter le public brésilien, qui descend dans la rue depuis le début de la compétition pour des raisons sociales : «Ordre et progrès. Nous avons mis de l'ordre et nous progressons. Notre équipe a beaucoup évolué, elle se connaît de mieux en mieux et je suis sûr que nous allons encore donner beaucoup de joie à nos supporters.» Les 70 000 spectateurs qui seront présents dimanche au Maracana n'attendent que ça.

Del Bosque : «Ne pas trop subir d'entrée»

A la veille de la finale de la Coupe des confédérations entre l'Espagne et le Brésil, Vicente Del Bosque est resté très méfiant en conférence de presse. «Ils sont les parents du football et nous, nous sommes des débutants au nombre des titres gagnés», a-t-il expliqué sur le site de la FIFA.

Vicente Del Bosque et ses joueurs vont maintenant défier le Brésil au Maracana. (Reuters)

«Vicente Del Bosque, que représente pour vos joueurs cette finale et tout ce qu'il y a autour : le Maracaña, l'adversaire, l'enjeu…
Mes joueurs sont jeunes et comme tous les gens de leur âge, ils ont des rêves et des espoirs. Le contraire serait malheureux. Et même si ces garçons ont déjà réalisé certains de leurs rêves, il est bon de savoir que ce match en génère de nouveaux. Sans émotion, vous ne pouvez rien faire.
«Scolari a réussi à construire une équipe dans tous les sens du terme»Que pouvez-vous nous dire de cette équipe du Brésil ?
C'est un adversaire qui n'est pas facile à dominer. Tous les internationaux brésiliens qui évoluent à l'étranger ont beaucoup d'assurance et d'énergie. Dans l'axe, ils ont un très bon équilibre, aussi bien en défense qu'au milieu. C'est une équipe complète, jeune et pleine de vitalité. Nous allons devoir faire attention à ne pas trop subir leur pression d'entrée.

Êtes-vous surpris par les résultats obtenus par Luiz Felipe Scolari en seulement six mois ?
Scolari est un grand connaisseur du football brésilien et il a cherché à retrouver son essence, mais avec l'organisation d'une équipe européenne. Il ne possède pas vraiment de stars, mais il a réussi à construire une équipe dans tous les sens du terme. Ce tournoi était un grand test pour eux et ils ont atteint leur objectif d'arriver en finale.
«Battre le Brésil sur son terrain aurait une portée symbolique importante»Y a-t-il un favori pour cette finale ?
Je vais vous dire quelque chose de très évident, mais dans un match pareil, les antécédents ne comptent pas. Ils sont les parents du football et nous, nous sommes des débutants au nombre des titres gagnés. Mais le match commencera à zéro zéro.

Pour vous, que signifierait le titre ?
Battre le Brésil sur son terrain aurait une portée symbolique importante. Nous avons une grande reconnaissance pour ce que nous avons fait jusqu'ici, et cela vient du fait que nous continuons de gagner. Alors nous devons continuer d'honorer cette responsabilité.»

Le même onze pour le Brésil

Luiz Felipe Scolari a trouvé son équipe et ce n'est pas la finale de la Coupe des confédérations contre l'Espagne dimanche (00h00) qui va le faire changer d'avis. «Nous avons formé un onze pour cette compétition et dans les deux matches précédents contre l'Angleterre (2-2) et la France (3-0), et ce sera la même équipe, a-t-il précisé. J'ai aimé comment les joueurs se sont comportés

Luiz Felipe Scolari félicite Paulinho, buteur décisif face à l'Uruguay. (Reuters)

Le sélectionneur brésilien a refusé de qualifier l'Espagne de favorite et pense que l'apport du public peut-être décisif au Maracana : «Je ne considère pas l'Espagne comme favorite, mais elle a tout gagné ces six dernières années en jouant pratiquement avec la même équipe, en changeant seulement quelques joueurs. Elle a donc certains avantages, mais nous, nous avons quelque chose d'important: nous avons retrouvé de la crédibilité auprès de nos supporters. Il peut y avoir une certaine supériorité que nous pouvons surpasser avec de la compétence, de la force et un état d'esprit.»

Coupe des Confédérations: TAHITI - Vahirua arrête sa carrière

Haere ïa, Vahirua (*)

Marama Vahirua a joué ses derniers matches de footballeur de haut niveau à la Coupe des confédérations avec Tahiti. Le champion de France 2001 avec Nantes annonce sa retraite.
A 33 ans, le pagayeur Marama Vahirua, ici contre le Nigeria (1-6, le 17 juin), dit stop. (Reuters)

Dans la discrétion, sur une chaîne TV de Papeete, à Tahiti, son île d'origine, Marama Vahirua, 33 ans depuis le 12 mai, a annoncé cette semaine sa retraite sportive. Dans un grand sourire : «Je mets un terme à ma carrière professionnelle, sauf si le Barça m'appelle ce soir», a-t-il dit à l'antenne de la chaîne polynésienne TNTV.

L'attaquant, qui évoluait cette année à Panthrakikos (D1 grecque), vient de disputer la Coupe des confédérations au Brésil avec la sélection tahitienne. Il a eu plusieurs propositions, mais a pris la décision avec sa femme de «poser ses valises». S'il aimerait se «consacrer au football tahitien», il n'a pas encore «de projet arrêté».

Avant de s'exiler en Grèce, le célèbre pagayeur a joué toute sa carrière en Ligue 1 (Nantes, Nice, Lorient, Nancy et Monaco). Il compte à son palmarès un titre de champion de France, avec Nantes, en 2001, et six sélections en équipe de France Espoirs.

(*) Au revoir, Vahirua

Le PSG n'a jamais été le club de coeur de Payet

Futur joueur de Marseille, Dimitri Payet a affirmé que le PSG n'avait jamais été son club de coeur. L'international français l'avait pourtant déclaré il y a deux ans.

« Club de coeur, club de coeur… Quand j’ai fait cette déclaration, je jouais à Saint-Etienne et le PSG m’offrait la perspective d’une progression sportive. » Futur joueur de Marseille, Dimitri Payet a du mal à assumer ses propos sur le club parisien. Durant l’hiver 2011, l’international français avait failli rejoindre le club de la Capitale, étant même prêt à aller au bras de fer avec les dirigeants de l’AS Saint-Etienne. A l’époque, le Réunionnais avait ainsi affirmé sa volonté de rejoindre son « club de cœur ». Mais à l’heure de rejoindre l’OM, Dimitri Payet aurait sûrement souhaité ne jamais avoir fait cette déclaration.

« Moi, je constate que Marseille a su accueillir d’anciens joueurs du PSG, s’est justifié l’ancien joueur du FC Nantes dans les colonnes de L’Equipe. En ce qui me concerne, c’est encore plus simple : je n’ai jamais joué à Paris. » Actuellement en vacances à la Réunion, le milieu offensif a expliqué son choix de rejoindre le club phocéen : « Tout était réuni. J’ai 26 ans, j’aspire à jouer la Ligue des Champions et le haut du tableau dans une équipe de L1 compétitive. Mon choix est avant tout sportif. Cette saison, une de mes motivations est aussi de continuer à avoir du temps de jeu en équipe de France. Cela a pesé dans ma réflexion. »

Conscient de la pression qui règne sur les nouvelles recrues marseillaises, le futur ex-Lillois se sent prêt à affronter le défi : « Je me sens attendu. Mais c’était déjà le cas à Lille il y a deux ans après le doublé du LOSC. A l’OM, chaque recrue doit tout de suite être performante. Je sais à quoi m’en tenir. Mais les défis, c’est mon truc. Le challenge de l’OM est énorme. Je vais travailler pour le relever. » Plus que des déclarations, Dimitri Payet va en effet devoir vite montrer son talent et son envie sur le terrain. Les supporters marseillais pourraient dans le cas contraire se souvenir rapidement de ses déclarations sur le PSG…

LIGUE1: PSG: La composition du staff se précise

Selon Le Parisien, Claude Makelele a prolongé son contrat de deux ans avec le PSG. Gilles Bourges, l'entraîneur des gardiens, est dans l'attente. Fabien Barthez est toujours pressenti pour le remplacer.

Jean-Louis Gasset sera le premier adjoint de Laurent Blanc. Voilà la seule certitude qui existait depuis la nomination de l’ancien sélectionneur de l’équipe de France à la tête du PSG. Selon toute vraisemblance, Claude Makelele sera également de la partie. Déjà adjoint de Carlo Ancelotti, l’ancien joueur de Chelsea et du Real Madrid a prolongé son contrat de deux ans avec le club de la Capitale jeudi selon le Parisien. Ancien coéquipier de Laurent Blanc à Marseille lors de la saison 1997-1998, Claude Makelele devrait avoir les mêmes fonctions que sous l’ère Ancelotti : faire le lien entre les joueurs et l’entraîneur, ainsi qu’apporter son expertise au milieu de terrain. Barthez, entraîneur des gardiens ? Un autre poste pose visiblement plus de problèmes aux dirigeants parisiens : celui d’entraîneur des gardiens. Gilles Bourges, à qui il reste un an de contrat, a rencontré Laurent Blanc jeudi pour faire un point sur sa situation. Une situation qui reste bancale puisque le « Président » garderait toujours en tête de recruter Fabien Barthez avec qui il a déjà collaboré chez les Bleus. La reprise étant prévue lundi, une décision devrait intervenir rapidement. Des incertitudes persistent également sur d'autres membres du staff. Angelo Castellazi, adjoint technique d’Ancelotti et proche de Leonardo, ne sait pas encore s’il va rester. Les deux préparateurs physiques, Denis Lefebvre et Simon Colinet, devrait, eux, poursuivre l’aventure. Des proches d'Ibra et de Thiago Silva dans le staff Ancien adjoint de Nick Broad, décédé le 17 janvier dernier, Jack Nayler est spécialiste du secteur GPS et de la nutrition. Son avenir au PSG n’est pas clairement défini non plus. En revanche, Zlatan Ibrahimovic devrait être ravi d’apprendre que Dario Fort, kiné dont il est proche, va rester dans le club champion de France. Thiago Silva pourrait également apprendre une bonne nouvelle avec l’arrivée probable du physiothérapeute brésilien du Milan AC Marcelo Costa qu’il a recommandé à ses dirigeants. Encore floue, la composition du staff parisien se précise au fil des heures. Lundi, à Clairefontaine, les joueurs rencontreront Laurent Blanc, Jean-Louis Gasset et sûrement d’autres nouvelles têtes…

Mercato : les Transferts et Prolongation Officiel 29/6

FC Séville : Vitolo pour trois ans



Le FC Séville a annoncé sur son site officiel l'arrivée de Vitolo (23 ans), le milieu de terrain de Las Palmas, pour 3 millions d'euros.

Après Marko Marin, prêté par Chelsea, le FC Séville se renforce encore au milieu de terrain. Le club andalou a en effet annoncé la signature de Vitolo pour trois ans. L’Espagnol évoluait jusqu’alors à Las Palmas qui récupère trois millions d’euros dans la transaction.

Officiel : et une prolongation de contrat à Sochaux !


Maintenu de justesse dans le championnat de France de Ligue 1, Sochaux assure ses arrières pour l’exercice à venir, et vient de prolonger le contrat de son roi des coups de pied arrêtés, Rafael Dias.

Les Doubistes le confirment sur leur site officiel : « Son premier contrat professionnel, paraphé à l’été 2010, prenait fin. Rafael Dias a officiellement prolongé le contrat le liant à son club formateur. Rafael Dias s’est engagé ce vendredi 28 juin pour trois nouvelles saisons avec le FC Sochaux-Montbéliard. Durant la deuxième partie de saison 2012/2013, il a régulièrement évolué en Ligue 1, disputant 14 rencontres et réussissant trois passes décisives. Le Franco-Portugais a également été désigné "Joueur du mois" en janvier 2013 ».

Officiel, Montpellier : Aït Fana et El Kaoutari prolongent !


Karim Aït-Fana et Abdelhamid El Kaoutari ont tous deux prolongé vendredi leur contrat à Montpellier. Le premier d'une saison, le second de deux.
 Les deux internationaux marocains de Montpellier ont tous deux rempilé vendredi. Karim Aït-Fana et Abdelhamid El Kaoutari, tous deux formés au club, ont tous deux prolongé leur contrat au MHSC, annonce le club montpelliérain sur son site officiel. Respectivement d’une et de deux saisons. L’attaquant montpelliérain est donc désormais lié au club héraultais jusque fin juin 2015 contre fin juin 2016 pour son coéquipier défenseur.
Arrêté pratiquement toute la saison dernière en raison d’une grave blessure à un genou (ndlr : il a fait son retour le 18 mai contre Lille après près de sept mois d’absence), Aït Fana avouait il y a quelques jours sur le site de Montpellier miser beaucoup sur la saison qui arrive. « C'est vrai que par rapport à la saison dernière où je n'ai pas beaucoup joué, on peut presque considérer que je suis une recrue (sourire), s’amusait l’attaquant de 24 ans. Cela fait plaisir de retrouver les terrains et les coéquipiers. C'est reparti pour une nouvelle saison. L'objectif c’est de faire mieux que la saison dernière, même si la saison passée, ce n'était pas si mal que ça. On découvre un nouveau coach, avec de nouvelles méthodes... C’est à nous d'y adhérer pour essayer d'aller le plus haut possible ».

Leverkusen : Officiel pour Spahic


Emir Spahic a signé un contrat de deux ans avec le Bayer Leverkusen, récent troisième de Bundesliga, a annoncé le club sur son site officiel.

L’ancien défenseur montpelliérain, Emir Spahic, a signé un contrat de deux ans avec le Bayer Leverkusen. Agé de 32 ans, l’international bosnien était prêté par le FC Seville à l’Anzhi Makhachkala la saison dernière. « Emir Spahic est solide dans les duels, a déclaré Rudi Völler, le directeur sportif du club de la Rhur. Il a également une excellente formation tactique et un bon jeu de tête. Il nous aidera à atteindre nos objectifs en Bundesliga, Coupe d’Allemagne et aussi en Ligue des champions. »

FC Porto : Herrera pour quatre ans



Le milieu de terrain international mexicain Hector Herrera a signé vendredi un contrat de quatre ans au FC Porto. Montant du transfert : 10 millions d'euros.

De retour de la Coupe des Confédérations au lendemain de l’élimination du Mexique dès le premier tour, Hector Herrera a pris la direction du FC Porto où il s’est engagé pour les quatre prochaines saisons pour un montant de 10 millions d’euros. International mexicain, le milieu de terrain de 23 ans acheté au club de Pachuca (Mexique) compte sept sélections.

Officiel : Mickaël Landreau prolonge à Bastia

Officiel : Mickaël Landreau prolonge à Bastia - Football - Ligue 1Le Sporting l’a officialisé samedi, en fin d’après-midi : Mickaël Landrau gardera la cage bastiaise pour "la saison à venir". Le gardien international français (34 ans) a décidé de prolonger son contrat avec le club corse. Arrivé de Lille au mois de janvier, Landreau était courtisé par l’AS Monaco.



Officiel : et un renfort à Ajaccio !

Sous contrat avec l’Olympiakos, Claude Dielna avait été prêté la saison dernière à Sedan. Et bien bis repetita ou presque pour l’exercice à venir, puisque le défenseur est ce coup-ci prêté par le club grec à Ajaccio.
L’écurie corse confirme la nouvelle sur son site officiel : « Le club a officiellement confirmé aujourd’hui (samedi) la venue de Claude Dielna, sous forme de prêt, en provenance de l’Olympiakos. Âgé de 25 ans, le défenseur polyvalent d’origine guadeloupéenne sera au club lundi ».

Newcastle réclame une fortune au PSG pour Cabaye

Annoncé comme l'une des priorités du nouveau coach parisien, Laurent Blanc, Yohan Cabaye ne sera pas donné si le PSG décide de passer à l'action.

Cabaye, une cible coûteuse pour le PSG

Présenté jeudi dernier comme nouvel entraîneur du Paris Saint-Germain, Laurent Blanc s’était montré très évasif concernant le mercato parisien. « Cela fait 48h qu’on parle beaucoup, du staff et de l’effectif. Permettez-moi d’attendre un peu pour vous répondre plus précisément. Je pourrais vous répondre, mais je ne serai pas précis. » Pourtant, Le Parisien annonçait que le Cévenol avait bel et bien un nom précis en tête pour sa campagne de recrutement, celui de Yohan Cabaye.
Élément-clé de l’effectif de Newcastle, l’ancien Lillois possède une belle cote sur le marché. Également annoncé dans le viseur de l’AS Monaco, le Frenchie ne s’était d’ailleurs pas montré insensible quant à un éventuel retour en Ligue 1. Sauf que les Magpies n’ont pas l’intention de laisser filer leur milieu de terrain selon le journal local The Shields Gazette.
Le média anglais affirme que la formation du Tyneside réclamera pas moins de 30 M€ ! Une somme bien évidemment excessive pour un joueur recruté pour 5 M€ en 2011 et qui sort d’une saison à lutter contre la relégation. Conscient de l’intérêt d’équipes fortunées, Newcastle espère-t-il décrocher le jackpot ou tout simplement dissuader ces formations de s’attaquer à son protégé ?

Quel buteur pour remplacer Tevez à City ?

Alors que Carlos Tevez s'est engagé officiellement en faveur de la Juventus Turin, les dirigeants de Manchester City s'activent en coulisse pour lui trouver un remplaçant. Et plus d'un attaquant en Europe aurait le profil...



Oscar Cardozo (30 ans, Benfica) : son nom revient avec insistance ces dernières années, et pourtant. L'athlétique attaquant paraguayen, Oscar Cardozo, est une véritable gâchette du côté du Benfica. La saison dernière, ce dernier a été l'un des grands artisans de la qualification du club lisboète en finale de Ligue Europa. Cardozo présente l'avantage d'être accessible financièrement [un argument qui ne compte guère pour City, ndlr.] et ne dispose que de quelques touches, notamment en Turquie. Et nul doute qu'au début de sa trentaine, le grand Oscar verrait d'un bon oeil la signature d'un juteux contrat dans le Nord de l'Angleterre.

Edinson Cavani (26 ans, Naples) : qui arrivera à convaincre El Matador et son président, Aurélio de Laurentiis ? Alors que le montant de son transfert est évalué à près de 65 millions d'euros, l'avant-centre uruguayen attire les grands européens. Dans ce cas, quoi de plus naturel que les Citizens se positionnent sur le dossier. En espérant que Cavani souhaite poursuivre sous un maillot bleu clair, comme Naples, la Celeste... et City. Pour l'heure, les Skyblues talonnent les Blues de Mourinho et les Merengue d'Ancelotti sur cette piste. Et le prix n'est pas vraiment un problème.

Mario Gomez (27 ans, Bayern Munich) : c'est LA bonne affaire de ce mercato estival. Plus vraiment désiré du côté du Bayern Munich, l'attaquant international allemand pourrait quitter la Bavière pour un montant de 15 millions d'euros. Seul hic, Chelsea et la Fiorentina sont également sur le dossier depuis plusieurs semaines. La saison dernière, année dorée pour le FC Hollywood, Super Mario a inscrit 11 buts en 21 petites apparitions en Bundesliga. A l'instar de Cardozo et Cavani, Gomez a un profil athlétique. A la Dzeko, mais le Bosnien ne serait pas retenu par sa direction pour quitter l'Etihad Stadium et ce dès cet été.

Gonzalo Higuain (25 ans, Real Madrid): un Argentin pour remplacer un Argentin ? Certes, Arsenal a une longueur d'avance sur le dossier Gonzalo Higuain, et pourtant. L'international albiceleste pourrait se laisser tenter par une offre de Manchester City. En effet, l'attaquant du Real Madrid, dont le transfert est estimé à 25 millions d'euros, serait inspiré d'évoluer aux côtés de Sergio Agüero à un an du Mondial au Brésil. Nul doute que les Citizens du Chilien Manuel Pellegrini ont pensé à cet argument. Reste à se montrer persuasif.

Robert Lewandowski (24 ans, Borussia Dortmund) : partira, partira pas ? Le public de l'Iduna Park aimerait bien connaître les intentions de son attaquant polonais, Robert Lewandowski. Auteur d'une saison de tous les superlatifs avec les Marsupiaux, "Lewy" serait dans les petits papiers de l'une de ses anciennes victimes en Ligue des Champions, José Mourinho, le nouveau manager de Chelsea. La Premier League tend les bras au géant Lewandowski. Pour autant, sa direction ferait tout pour ne pas le laisser filer.

Alvaro Negredo (27 ans, FC Séville) : un nouveau renfort espagnol dans les rangs de Manchester City ? Après avoir recruté Jesus Navas, le board des Skyblues pourrait continuer à s'intéresser au joueur de Séville et plus précisément à son meilleur buteur la saison dernière, Alvaro Negredo. Auteur de 25 buts en 36 matches de Liga la saison passée, l'international espagnol pourrait gagner sa place pour le Mondial 2014 et poursuivre sa concurrence.

Pablo Osvaldo (27 ans, AS Rome) : l'international italien, Pablo Osvaldo, a également une place à gagner pour le prochain Mondial. Agé de 27 ans, l'ancien de la Fiorentina a détonné la saison dernière avec l'AS Rome (16 buts en 29 matches de Serie A). Des prestations qui ne seraient pas passées inaperçues du côté de Manchester. Seul inconvénient, Osvaldo serait le grand favori pour succéder à un autre avant-centre de classe mondial, Radamel Falcao (AS Monaco). L'Italien serait également accessible (20 millions d'euros) et pourrait donc être accompagné d'un autre élément offensif. La balle est dans le camp de Manchester City.

Le Barça a une botte secrète pour Thiago Silva

Le FC Barcelone n'abdique pas en ce qui concerne le dossier Thiago Silva ! Les Blaugrana croient toujours qu'ils vont réussir à déloger le défenseur central du PSG avant la fin du mercato.

Thiago Silva

Un émissaire "spécial". Dimanche (demain), on assistera à la finale de la Coupe des Confédérations entre le Brésil et l'Espagne. La Seleção espère triompher sur son sol dans l'antre du Maracana, histoire d'envoyer un signal fort à tous ses rivaux en vue du Mondial 2014. Avant ou dans la foulée de cette rencontre cruciale contre la Roja, Thiago Silva pourrait avoir une visite particulière. En effet d'après la une du quotidien El Mundo Deportivo, un certain Raül Sanllehí pourrait venir discuter avec lui de son avenir. Cet homme fait partie de l'organigramme du Barça et son intervention en ce qui concerne le transfert de Neymar (ex-Santos) a été décisive puisque ce dernier a signé au Camp Nou.

Au sujet de Thiago Silva, force est de constater qu'il n'aura sans doute pas besoin de beaucoup de temps afin de convaincre le défenseur central du PSG de traverser les Pyrénées. La tour de contrôle auriverde, âgée de 28 ans, a toujours dit et répété que son rêve est de porter un jour le maillot du FC Barcelone. Mais le natif de Rio de Janeiro sait pertinemment que les décideurs du club de la capitale française n'ont pas du tout l'intention de le vendre. Il y a quelques jours, le président Nasser Al-Khelaïfi a profité de la présentation officielle du nouvel entraîneur, Laurent Blanc, pour marteler qu'il est hors de question de laisser partir Thiago Silva dans le cadre de ce mercato estival.

A moins que l'émissaire Raül Sanllehí arrive à inciter le défenseur central à entamer un bras de fer avec le PSG, on ne voit pas comment il pourrait débloquer la situation qui est cadenassée. En plus d'être réticents à l'idée de céder l'ancien joueur du Milan AC, les Parisiens s'appuient aussi sur le fait qu'ils avaient déboursé pas moins de 42 millions d'euros pour valider la venue de Thiago Silva. Après avoir mis sur la table 57 millions pour Neymar, on imagine mal que les Blaugrana fassent le même type d'offre pour s'offrir le Brésilien. Même si le journal Sport pense que "c'est possible", force est de constater que le Barça est encore très loin du compte jusqu'à preuve du contraire...

THIAGO ALCANTARA, DU BARÇA AU... REAL ?

Véritable révélation du dernier Euro des moins de 21 ans, l'attaquant barcelonais, Thiago Alcantara, 22 ans, pourrait aller chez l'ennemi, le Real Madrid, dans les semaines à venir rapporte le quotidien catalan, El Mundo Deportivo.

Thiago Alcantara

Thiago Alcantara va-t-il faire un affront au Barça ? Après le Portugais Luis Figo ou encore le Brésilien Ronaldo, le jeune attaquant espagnol du FC Barcelone, Thiago Alcantara, 22 ans, pourrait quitter la Catalogne dans les jours ou les semaines à venir pour Madrid et le Real croit savoir le journal El Mundo Deportivo. Auteur d'un triplé en finale de l'Euro des moins de 21 ans contre l'Italie (4-2), le frère cadet de Rafinha plairait beaucoup au nouvel entraîneur des Merengue, Carlo Ancelotti. Ce dernier aimerait beaucoup associer le serial buteur de la Rojita, qui a disputé 27 matches (pour 2 buts) en Liga avec le Barça la saison dernière, et le jeune talent venu de Malaga, Isco. Alcantara et Isco ont été deux des grands artisans du sacre de l'Espagne chez les U21 à l'échelle internationale. Une Casa Blanca qui aurait alors des airs de Rojita... 

Mais pour conclure l'affaire dans les plus brefs délais, le Real Madrid devra se montrer peut-être aussi convaincant que pour Isco [la formation madrilène avait déboursé pas moins de 30 millions d'euros, ndlr.]. En effet, après ses fulgurances lors des championnats d'Europe, Thiago Alcantara a vu sa côte monter en flèche à travers le Vieux continent. En effet,Manchester United, champion d'Angleterre en titre, serait très intéressé à l'idée d'accueillir le natif de Bari en Italie. Alcantara dispose d'une clause libératoire de 18 millions d'euros. Seul hic, la surenchère pourrait être de mise et un trio Messi-Neymar-Alcantara fait saliver toujours plus des supporters du Barça qui espèrent bien renouer avec les succès sur la scène européenne.